26 mars

Deux choses me frappent ce matin :

– La première, c’est que les gens sentent le parfum. Très fort.

– La deuxième, c’est que je dois désormais faire gaffe à ce que je dis. C’était bon de vivre dans un endroit où personne ne parlait ma langue et où je pouvais dire tout ce que je voulais haut et fort. A l’inverse, je comprends également toutes les conversations (qui sont parfois très drôles). Il est désormais difficile de se concentrer quand je lis dans les espaces publics.

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