Voilà 10 jours que nous pouvons sortir sans masque. Depuis, à chaque instant je m’enivre des odeurs propres à la ville.
Odeurs fumées sortant des cuisines, eau stagnante, fleurs, pollution aussi un peu, effluves de mer et d’humidité… soupes… parfum de savon près des laveries, cafés brûlants… fumets des eggettes qui cuisent… celui, métallique, de la viande sur les étals, dai pai dong sur les trottoirs ou gâteaux chiffons.
Hong Kong reste toujours le port parfumé, celui qui affole nos sens.
