L’odeur nous happe dans la station de métro. Une effluve salée et indéfinissable quand on ne la connaît pas.
Et en sortant, tout s’éclaire. Les ruelles accueillent des dizaines de vendeurs de poissons séchés. Éponges, concombres, panses de poissons, crevettes ou coquillages, ils sèchent au soleil à même le trottoir. Les clients se pressent déjà face aux boutiques.
C’est un matin ordinaire à Sai Yin Pun.






